Dénonciation d’un agresseur violeur, violent, sexiste.

Dénonciation d’un agresseur violeur, violent, sexiste.
Les chansons de Dominique Grange portent en elles les traces de Mai 68. Chanteuse engagée, elle a marqué l’époque de son empreinte et est devenue une icône de l’effervescence politique de l’après-Mai 68. Elle exprime toujours, aujourd’hui, par sa voix et son engagement, la même volonté de résistance à toutes les formes d’oppression. Lorsqu’elles dialoguent avec les dessins de Tardi et évoquent les récents mouvements sociaux, ses chansons véhiculent les mêmes aspirations révolutionnaires.
Guy Hocquenghem est aujourd’hui méconnu. Il incarne pourtant les luttes homosexuelles et les luttes des années 1968.
Aujourd’hui ultra libéraliste et individualiste le mouvement américain du Tea Party a profondément mué pour devenir le symbole d’un capitalisme débridé. Retour sur les origines d’un mouvement contestataire aujourd’hui largement critiquable.
Le 20 avril dernier à Gasteiz, la ZAD se jumelait avec le quartier squatté d’Errekaleor (Pays basque). Les opérations policières en cours à Notre-Dame-des-Landes n’ont pas mis un coup d’arrêt, bien au contraire, aux liens et aux solidarités internationales qui se tissent depuis la zone.
Nous sommes bien 50 ans apès "mai 68". Mais qu’est-ce qui c’est passé cette année-là ? Vous étês invitéEs à voir deux documentaires qui racontent des luttes pendent cette période.
Jeudi 08 février 2018, projection à 20h30, précédée d’un « Fallait-pas » à 19h30 au Centre Ascaso-Durruti, 6 rue Henri René - Montpellier, quartier Gare.
Retour sur l’Italie des années 1968, entre grèves sauvages et actions de groupes armées.
Après la « bataille d’Alger » en 1957, la France prétendait avoir anéanti toute opposition en Algérie. Mais le dimanche 11 décembre 1960 et les jours suivants, de vastes manifestations populaires sont organisées par les Algériens pour arracher leur indépendance. Cet épisode historique capital reste méconnu. Entièrement repris d’un article en ligne écrit par Mathieu Rigouste.
En ce début de mobilisation contre une nouvelle #LoiTravail, une histoire des résistances au travail et de « l’anti-travail » depuis l’industrialisation – avec Bruno Astarian, auteur de l’ouvrage historique "Aux origines de l’anti-travail" (2005)
Une adaptation vidéo de Guillaume Deloison d’une émission de Sortir du capitalisme
Institutrice, elle collabore à à peine vingt ans à plusieurs journaux révolutionnaires. Elle se mobilise lors de l’arrestation des militants blanquistes arrêtés. Elle participe activement à la Commune de Paris où elle anime le « club de la révolution ». Les armes à la main, elle défend la Commune contre les troupes versaillaises lors des batailles de Clamart, Issy-les-Moulineaux, Neuilly, Clignancourt. Lors des derniers combats, elle est toujours sur les barricades ; elle se rend pour libérer sa mère qui a été arrêtée à sa place.
Aujourd’hui, le 18 novembre, est férié au Maroc. C’est jour de fête national célébrant l’indépendance du Maroc. Retour critique sur la date et l’histoire qui l’entour. Ecris par une militante d’origine marocaine vivant à Montpellier.
Il y a près de 61 ans, le 14 juillet 1953, un drame s’est déroulé en plein Paris. A la fin d’une manifestation célébrant la Révolution française, la police parisienne a chargé. Six Algériens et un Français ont été tués, une cinquantaine de manifestants ont été blessés.
Daniel Kupferstein avait déjà réalisé en 2011 le documentaire « 17 octobre 1961, dissimulation d’un massacre » et en 2010 « Mourir à Charonne, pourquoi ? ». Il explique ici ce qui l’a poussé à sortir cette histoire de l’oubli.
Le 20 mars 1967, Srnsky, un Européen, propriétaire d’un grand magasin de chaussures à Basse-Terre (Guadeloupe), voulant interdire à Raphaël Balzinc, un vieux Guadeloupéen infirme, cordonnier ambulant, de passer sur le trottoir qui borde sa devanture, lâche sur lui son berger allemand.
Srnsky excite le chien en s’écriant : « Dis bonjour au nègre ! »
Contexte et recit filmé d’une lutte radicale contre l’extrême droite italienne.
Il y a 111 ans, le 9 janvier 1905, Louise Michel décédait. Elle était née le 29 mai 1830 au château de Vroncourt (Haute-Marne). Fille d’une domestique et du père d’une famille de la petite noblesse, les Demahis, pour laquelle sa mère travaillait (...) Quand ceux-ci moururent à la fin des années 1840, le château fut vendu et Louise dut gagner sa vie. Dans ses Mémoires (1885), elle a raconté comment elle fut très tôt choquée par l’injustice. Cette intro est tiré du site Socialisme libertaire.
A l’occasion des journées contre l’enferment, qui se déroulent à Montpellier du 2 au 19 décembre 2015, voilà un article que revient sur l’histoire des luttes dans les prisons en France dans les années 1970. A voir le film "Sur les toits" le vendredi 18 décembre à 19h au Barricade.
Ils ont eu le courage de dire " non" : les mutins du 17° régiment d’infanterie de Bézier (1907). Source ???????
Contribution à la semaine contre l’enfermement (principalement à Montpellier, ou je vis, mais aussi à Béziers), qui va au-delà de cette semaine, puisqu’elle sera régulièrement mise à jour. Il s’agit d’une chronologie des émeutes, manifs, sabotages, grèves de la faim etc., liées au mouvement contre l’enfermement, et notamment dans les prisons. La chronologie va d’aujourd’hui (plus ou moins) à décembre 2013. Elle permet de se faire une idée de ce qui se passe à l’échelle du monde, et pas seulement en France.
Qu’est qu’il c’est passé le 17 octobre 1961 A cinq mois de la fin de la guerre d’Algérie, le 17 octobre 1961, Paris a été le lieu d’un des plus grands massacres de gens du peuple de l’histoire contemporaine de l’Europe occidentale. Ce jour-là, des dizaines de milliers d’Algériens manifestent pacifiquement contre le couvre-feu qui les vise depuis le 5 octobre et la répression organisée par le préfet de police de la Seine, Maurice Papon. La réponse policière sera terrible. Des dizaines d’Algériens, peut-être (...)
Puisqu’il faut remplir cette fameuse rubrique, voilà un texte qui sort des luttes locales mais évoque un problème toujours actuel. Dans les années 1970, les ouvriers noirs de Détroit s’organisent par rapport à leurs conditions d’existence. Ils ne se contentent pas d’agiter un folklore identitaire mais s’organisent dans les usines pour combattre l’exploitation. Lu sur le blog Zones subversives
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